C'est ce que rapporte La Vie éco cette semaine. Le dispositif de mobilité bancaire est sur le point d'être mis en place. Un code de conduite en la matière, élaboré par Bank Al Maghrib et le Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) a ét&eacu
Le secrétaire général du ministère de la Santé a assuré que le projet du service sanitaire national donne aux médecins concernés le droit au même salaire que leurs homologues du secteur public ainsi que le droit à l'assurance m&eac
Graphique : la semaine boursière dans le monde. Source : feenviz.com
Le Crédit du Maroc et l’Association marocaine des exportateurs (Asmex) ont signé hier une convention de partenariat visant à consolider les synergies entre les deux institutions. En vertu de cet accord, les clients exportateurs du Crédit du Maroc peuvent bén&
Rachid Seffar, Directeur Général de Holcim Maroc, revient sur l'actualité de la société au premier semestre
Le MASI a perdu 1,5% lors de cette séance et affiche désormais une perte annuelle de 5,8%. Un nouveau plus bas annuel a été atteint au terme de cette séance à 9.061 pts. 141 points de perdus en une séance. Les secteurs bancaires, le BTP et l'im
Les indicateurs commerciaux et financiers de l’OCP OCP sont dans le vert au terme du premier semestre. Les résultats du groupe présidé par Mustapha Terrab font état d’une hausse significative du chiffre d’affaires (+19,54% à 27,6 milliards de DH)
CIH nous habitué depuis 2 ans à être la seule Banque de la place à afficher un coût du risque positif. Une situation qui s'explique par des reprises sur les dossiers épineux provisionnés par le passé. Son Président nous avait mê
A 27 MDH, le RNPG de Disway a progressé de 41% par rapport au premier semestre 2014. Le chiffre d'affaires signe une hausse de 22% 678 MDH en juin 2014 à 827 MDH à fin juin 2015. "Cette croissance est le fruit d’une augmentation des ventes de Disway Maroc (+15%) et d
Des médecins résidents et internes et des étudiants en médecine ont manifesté ce jeudi dans le centre de la capitale pour exprimer leur mécontentement et leur rejet de ce projet de loi qui prévoit un service national sanitaire "obligatoire" de deux an