L’épisode baissier des taux obligataires, enclenché depuis le début du mois de mai sur les taux courts, semble se propager, lentement mais sûrement, sur la partie droite de la courbe, alors même que le Trésor est en avance sur son programme d'&e
La séance d’adjudication du Trésor cette semaine marque la poursuite de la tendance baissière sur les taux courts, enclenchée depuis la dernière sortie du Maroc à l’international. Ce mardi, l'offre des investisseurs s’est chiffr&eacu
"Durant cette semaine, le Trésor a procédé à d’importantes levées inattendues sur les lignes 13 semaines, 52 semaines et 2 ans pour des montants respectifs de 100 millions de dirhams (MDH), 1,5 milliard de dirhams (MMDH) et 8,31 MMDH aux taux limites de
C'est une séance d'adjudication rassurante à laquelle nous avons pu assister mardi, de l'avis des opérateurs de marché. Le montant total levé par le Trésor s'est établi à 9,9 Mds de dirhams, profitant d'une demande important
Le reste à financer durant la séance prochaine s’élève à 1,5 MMDH, indique AGR dans sa récente note "Hebdo Taux-Fixed Income", relative à la semaine allant du 07 au 13 avril. Concernant cette séance, l’argentier de l&rs
Le trésor a levé 3,5 Mds de dirhams mardi, essentiellement sur le 52 semaines qui s’est apprécié de 8,4 pbs à 3,53%. Le 26 semaines connait une légère hausse de 3,2 pbs à 3,18% alors que le 5 ans connait une hau
Après deux séances blanches, le trésor s’est enfin résigné à lever un montant de 3,1 milliards de dirhams sur le marché de la dette mardi, provoquant une légère hausse de 4,6 pbs du 52 semaines et
Au lendemain du relèvement du taux directeur de 50 pbs par Bank Al-Maghrib, le marché obligataire a connu une séance blanche. La demande des investisseurs était relativement faible, ne dépassant pas les 5,3 Mds de dirhams, uniquement sur les
Le trésor a poursuivi mardi l’ajustement de la courbe des taux à la hausse comme attendu par le marché. En effet, après les maturités courtes, moyennes puis le 10 ans les semaines écoulées, l’argentier du royaume a marqué à l
Les conditions de financement de l’État en 2022 ont été pour le moins difficiles. La hausse de ses besoins à cause de l’inflation, le relèvement des rentabilités exigées par les investisseurs et le resserrement de la politique moné